lundi 1 septembre 2008

Une Charmante Histoire de "Canard" à Spokane (Etats-Unis)"


Ceci s'est passé au centre-ville de Spokane aux États-Unis.

Joël, est un banquier responsable des prêts à la Banque Sterling au centre-ville de Spokane. Il travaille au premier étage d'un immeuble sur l'avenue Riverside.

Il y a quelques semaines, il aperçut une cane colvert qui faisait son nid sur le bord de la fenêtre de son bureau, à plus de 3 mètres au-dessus du trottoir.

La cane a pondu 10 œufs dans la jardinière qui lui servait de nid, et couva ses œufs pendant quelques semaines.

Lundi après-midi, les 10 œufs avaient fait place à 10 canetons !...

Joël se demandait comment la cane allait se débrouiller pour amener ses canetons à l'eau dans cet environnement urbain, car cette action se produit généralement pendant les premières 48 heures qui suivent l'éclosion.

Mardi matin, en arrivant au bureau, Joël remarqua la cane qui était sur le bord de la fenêtre et qui encourageait ses canetons à la rejoindre, puis elle s'envola jusqu'au trottoir 3 mètres plus bas.

Elle continuait de caqueter afin d'encourager ses canetons à faire le saut.

Joël ne pouvait imaginer ces petites créatures plongeant dans le vide !...
Et pourtant, le premier caneton fit le saut et tomba sur le trottoir de ciment.

Joël sortit du bureau et se plaça directement sous la fenêtre, voyant le petit caneton qui se remettait de sa chute presque fatale.

Joël regarda vers le haut, car le 2ème caneton se préparait à sauter.
Il se cacha sous le porche, pendant que la cane continuait d'appeler ses petits, et quand le caneton sauta, Joël sortit de son abri juste à temps pour l'attraper au vol.
Il le déposa à côté de la cane et du premier caneton encore un peu ''groggy''.

Un par Un, les canetons continuèrent de sauter et Joël les cueillit un à un.

Les passants s'étaient tous arrêtés sur le trottoir et regardèrent les canetons sauter jusqu'au dernier. Finalement, la petite famille était de nouveau réunie, au grand plaisir de la cane.


Joël réalisa alors que la petite famille n'avait pas encore terminé son périple.
Il lui restait à traverser 2 pâtés de maisons, quelques rues et ruelles, et la foule du centre-ville de Spokane, avant d'arriver au premier plan d'eau, soit la rivière Spokane.

Les secrétaires, qui observaient le tout depuis l'étage, se joignirent à Joël en lui apportant une boîte de carton pour y placer les canetons. Ils placèrent les 10 petits
dans la boîte sous le regard observateur de la cane.

Joël tenait la boîte assez bas pour que la cane puissent voir ses petits.
Il se dirigea alors doucement vers la rivière Spokane à travers les rues du centre-ville, alors que la cane le suivait à courte distance.



Quand ils arrivèrent à la rivière, la cane dépassa Joël pour aller à l'eau et se mit à caqueter de nouveau. Les employés de la banque Sterling penchèrent la boîte en la posant au sol, afin d'aider les canetons à sortir pour rejoindre aussitôt la cane dans l'eau.



Les 10 canetons nageaient maintenant en formation serrée autour de la cane.

Joël raconte que la cane fit quelques cercles devant eux en caquetant comme pour les remercier de leur aide précieuse .

C'est comme si elle disait à Joël et ses collègues:

"Regardez, nous l'avons fait! Merci pour votre Aide"

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dimanche 10 août 2008

L’attitude positive « impressionnante » de Jerry

Jerry est gérant dans la restauration à Philadelphie. Il est toujours de bonne humeur et a toujours quelque chose de positif à dire. Quand on lui demande comment il va, il répond toujours: "Si j'allais mieux que ça,nous serions deux: mon jumeau et moi!" Quand il déménage, plusieurs serveurs et serveuses sont prêts à lâcher leur job pour le suivre d'un restaurant à un autre pour la seule raison qu'ils admirent son attitude. Il est un motivateur naturel.

Quand un employé file un mauvais coton, Jerry est toujours là pour lui faire voir le bon côté des choses.

Curieux, je suis allé voir Jerry un jour pour lui demander: "Je ne comprends pas. Il n'est pas possible d'être toujours positif comme ça,partout, tout le temps. Comment fais-tu?"

Et Jerry de répondre: "Tous les matins à mon réveil, je me dis que,aujourd'hui, ou bien je choisis d'être de bonne humeur, ou bien je choisis d'être de mauvaise humeur. Je choisis toujours d'être de bonne humeur.

Quand il arrive quelque incident déplorable, ou bien je choisis d'être la victime, ou bien je choisis d'en tirer une leçon. Quand quelqu'un vient se plaindre à moi, ou bien je choisis d'entendre sa plainte, ou bien j'essaie de lui faire voir le bon côté de la chose."

"Mais ce n'est pas toujours si facile", lui dis-je. Et Jerry d'enchaîner: "La vie, c'est une question de choix. On choisit sa façon de réagir aux situations. On choisit de quelle façon les autres peuvent nous influencer ou non. On choisit d'être de bonne humeur ou de mauvaise humeur. On choisit de vivre sa vie de la manière qui nous convient."

Plusieurs années plus tard, j'entends dire que Jerry a fait incidemment ce qu'on ne doit jamais faire dans la restauration: il a laissé déverrouillée la porte arrière du restaurant un bon matin et il s'est fait surprendre par trois voleurs armés. En essayant d'ouvrir le coffre fort, sa main tremblait de nervosité, il n'arrivait pas à faire la combinaison numérique.

Un des intrus a paniqué et a tiré. Heureusement pour Jerry, les choses n'ont pas traîné et il a été vite transporté à l'hôpital. Après dix-huit heures de chirurgie et des semaines de soins intensifs, Jerry a reçu son congé de l'hôpital avec des débris de la balle qu'on avait réussi à lui retirer du corps.

J'ai revu Jerry six mois après l'incident et je lui ai demandé comment il réagissait à tout ça. "Si j'allais mieux que ça, dit-il, nous serions deux: mon jumeau et moi. Tu veux voir les cicatrices?" Je n'ai pas voulu voir la blessure mais je lui ai demandé ce qui lui avait passé par la tête au moment du vol.

Et Jerry de dire: "La première chose qui m'est venu à l'idée est que j'aurais dû fermer à clé la porte arrière du restaurant. Et puis, étendu sur le plancher après m'être fait tiré une balle, je me suis souvenu que je pouvais encore faire un choix: ou bien de vivre ou bien de mourir. Et j'ai choisi de vivre."

"T'as pas eu peur?" lui dis-je. Et lui de répondre: "Les ambulanciers ont été bien corrects. Ils n'ont pas essayé de me dire que tout allait bien. Mais en entrant dans le bloc opératoire de l'hôpital, j'ai vu l'expression faciale des médecins et des infirmières et, là, j'ai eu peur. J'ai vu dans leurs yeux que j'étais un homme mort et j'ai su que je devais agir vite."

"Et alors, qu'as-tu fait?" "Eh bien, mon ami, il y avait une grosse infirmière qui me bombardait de questions; elle voulait savoir si j'étais allergique à quelque chose. J'ai dit oui, et les médecins et les infirmières se sont arrêtés pour entendre ce que j'allais leur dire. J'ai pris une profonde respiration et je leur ai dit que j'étais allergique aux balles de fusil! Quand ils ont eu cessé de rire, je leur ai dit que j'avais fait le choix de vivre et qu'ils feraient mieux de m'opérer comme si j'étais un homme vivant plutôt qu'un homme mort!"

Jerry a survécu grâce à l'expertise des médecins mais aussi grâce à son attitude étonnante! J'ai appris de lui que, à tous les jours, nous devons faire des choix: ou bien de profiter pleinement de la vie ou bien de s'y emmerder tant qu'on veut.

La seule chose qui nous appartient et que personne ne peut contrôler, ni nous enlever, ce sont nos attitudes. Alors, quand on peut cultiver des attitudes positives, tout le reste est de la petite bière.

Auteur inconnu

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samedi 9 août 2008

Savoir converser avec attrait

Parler d’une manière captivante, cela s’acquiert, tout comme l’art
de trouver pour chacun le mot aimable, l’attention délicate ou
l’approbation adroite qui suscitent du premier coup la sympathie.

Chacun de nous peut être recherché, admiré ou apprécié pour
le seul agrément de ses propos. Il est donc indispensable de cultiver
une bonne articulation et un bon vocabulaire pour jouir d’une
élocution claire et efficace.


Lorsque nous abordons quelqu’un, c’est nos premières paroles
qui déterminent son attitude mentale à notre égard.

Essayons donc de bien « maîtriser » nos paroles, parce que
la vie abonde de multitudes de situations délicates,
où on doit laisser un souvenir favorable et une bonne
appréciation aux gens que nous avons rencontré.


« Vous n’aurez jamais une deuxième chance de faire
une première bonne impression ». [David.Swansson]

vous pouvez télécharger votre Dossier Gratuit :

« L’art D’une Communication Claire Et Concise
A L’aide D’expressions Simples Et Efficaces »,

ici : http://url-ok.com/8533fc